Petit bébé,
Voilà la suite de nos annonces en espérant que tu y trouves plein de preuves d’amour.
Le téléphone a été notre allié, j’ai beau le haïr plus que tout, j’ai pris mon courage à deux mains pour prévenir ma famille. C’est d’abord ma tata Dany et mon tonton Michel qui ont eu la primeur de la nouvelle. Ton arrière grand-mère, Raymonde (alias Blondinette), était là et j’ai pu partager avec elle ce sentiment qui me fait encore aujourd’hui sourire, celui de devenir ton papa. Tous, sans exception, se sont réjouis pour mes parents tant ceux-ci avaient pleuré quand je leur avais déclaré mon amour pour ton papa Fred en avril 2003. Ils étaient si persuadés de ne jamais devenir grands-parents que toute ma famille avait senti le besoin de les épauler malgré mes affirmations qui leur prédisaient ton arrivée. Ta venue a donc donné lieu à deux sentiments de joie : pour ton Papa Fred et pour moi, mais aussi pour ton Papy Pierrot et ta Mamie Chantal. Nous sommes prêteurs et très heureux aussi pour eux donc les phrases prononcées pour mes parents de la part de ma famille m’ont particulièrement touché.
Certains appels ont été plus faciles que d’autres, je ne te le cache pas. Sachant que ma cousine, Corinne, et que mes cousins Nicolas et David espèrent eux aussi un petit bout, il m’a été douloureux de les appeler pour afficher notre bonheur. Leur parcours du combattant et leur volonté sont aussi forts que les nôtres et je trouve injuste que leur souhait ne s’exauce pas. Je suis toujours plus désolé qu’heureux quand une bonne chose me touche, il est ainsi rare de me voir jouir pleinement du bien qui m’arrive pensant toujours à la personne à qui je parle. Impossible pour moi, par exemple, de dire combien j’aime ton papa si une amie est célibataire. Je n’aime pas que l’on expose sa joie sans se soucier des autres, mais ne parviens jamais à vraiment profiter ouvertement de mon bonheur que je cache derrière une certaine distance qui me fait paraître tout le temps cynique, ironique. C’est peut-être pour cela que je t’écris ce blog, par peur de ne pas être capable de te dire un jour tout ceci les yeux dans les yeux… Beaucoup disent que j’écris bien, je sais que c’est mon mode de communication idéal pour déclarer mon amour, mon chagrin… mes sentiments. Le téléphone m’a tout de même permis de montrer un petit coin de notre joie. Corinne, David et Tatiana ont bien pris notre nouvelle, trouvant même la gentillesse de se réjouir pour nous. Nous leur souhaitons la même chose très vite car nous savons, en quelque sorte, ce qu’ils traversent. David m’a même appelé quelques semaines plus tard pour nous annoncer la venue d’un tout-petit, Sophie, étant enceinte. Vous aurez 1 mois d’écart avec ce bébé. J’espère que vous serez proches et je crois que ce souhait est partagé par les futurs parents comblés !
Marie et Gwendoline étaient sur un petit nuage quand j’ai pu leur parler. Elles t’ont beaucoup attendu(e) et ont demandé régulièrement des nouvelles afin de savoir quand tu pointerais le bout de ton nez… Savent-elles seulement combien je leur dois ? Elles m’ont montré ce qu’est un enfant en m’accueillant dans leur cœur et en m’y réservant une place un peu spéciale. Je crois que mon envie de toi n’aurait jamais été aussi forte sans les jours passés aux côtés des jumelles. Corinne, leur maman, m’a aussi montré que je savais m’y prendre, sa confiance a été totale et elle me permet d’aborder ta naissance aujourd’hui avec beaucoup de sérénité. Je tremble face aux premiers mois car je n’ai jamais eu l’occasion de m’occuper d’un tout petit bébé hormis d’Isaac le temps d’une journée, mais je crois que je vais m’en sortir… avec ton aide !
Mon parrain, Michel, était sans doute le plus ému. Nous nous sommes découverts tardivement, mais je crois que nos ressemblances sont grandes. J’ai été très gâté par le choix de mes parents qui n’auraient pas pu trouver quelqu’un qui me corresponde mieux. Mon parrain est discret, parle peu, mais parle toujours justement, aime ses fils plus que tout et a toujours été un papa admirable. Je me souviens d’avoir été envieux vis-à-vis de mes cousins qui ne semblaient pas se rendre compte de la chance qu’ils avaient d’avoir un père si présent et si tendre. Mon papa a, malheureusement, été peu là à cause de son travail et nous n’avons pas pu partager autant de choses que je l’aurais voulu quand j’étais petit. Nous nous sommes bien rattrapés depuis et je sais que ton arrivée va permettre à mon père de prendre le temps de faire des choses avec toi, des choses qu’il aurait tant aimé faire avec ton tonton Cyril et moi. Mon parrain était donc très ému au téléphone, ravi pour nous, nous soutenant, je crois, dans notre projet. Avoir un parrain tel Michel me fait en rêver un identique pour toi. Si je n’ai jamais discuté avec lui ou partagé des moments de jeu quand j’étais petit, j’ai toujours senti son regard sur moi, un sentiment certain d’être protégé, jamais jugé, quand mon parrain était dans la pièce. J’ai toujours eu peur de tout, tu peux donc t’imaginer que ce sentiment me faisait beaucoup de bien ! C’est cette bienveillance que je te souhaite, cette assurance de pouvoir compter sur quelqu’un qui t’aime et qui sera là pour toi qu’il fasse beau ou qu’il pleuve. Nous hésitons encore sur l’identité de ton parrain, je ne veux pas que l’on se trompe et que, comme mon frère, tu te retrouves dépourvu(e) de cette personne importante à mes yeux par la distance ou le simple manque d’implication.
L’appel à ma marraine, Mimi, a été le plus complexe. Je connais l’avis de ma marraine vis-à-vis de l’homosexualité qui la définit encore comme une maladie pour reprendre son terme exact. Si beaucoup chercheraient à la convaincre que cette idée est fausse, je ne m’y essaye pas. J’aime trop ma marraine pour la perdre et je ne veux pas entrer en guerre. Je respecte sa vision de ma vie, elle respecte la mienne et tout va bien. Ta mamie Chantal m’avait prévenu : ton arrivée déclenchait une polémique chez ma marraine qui s’inquiète déjà pour toi vis-à-vis du regard des autres. Je n’ai pas pu annoncer ton arrivée à mon tonton Yves. Il m’a toujours effrayé avec son regard noir qui me faisait pleurer quand j’étais petit et j’ai beau savoir depuis longtemps que celui-ci cache un cœur énorme, je ne peux m’empêcher de redouter son opinion sur ma vie. Je me sens honteux de ne pas avoir été capable de lui dire ta venue, mais je suis un pacifiste dans l’âme et j’ai préféré éviter l’obstacle plutôt que de peut-être chuter en essayant de le franchir. Ce n’est pas la meilleure attitude, mais c’est la seule que j’ai trouvée. Ma marraine était, étonnement, très heureuse pour nous. J’ai dû la faire répéter car j’étais vraiment abasourdi. Mimi est malade, je l’ai toujours connue malade, sa santé se dégradant d’année en année. Malheureusement, je suis le pire pour parler de maladie, n’ayant jamais souffert de quoi que ce soit et n’ai jamais su m’y prendre pour aborder ce thème. Idiotement, je crois à la force du moral et je sais que ma marraine déborde de bonne humeur. Je me voile alors la face car je ne sais pas comment la soutenir dans son combat de tous les instants. Avec le temps et face aux difficultés, ma marraine adoucit ses positions et montre davantage ses sentiments. « La vie est une tartine de merde et si Fred et toi avez la chance de n’en manger qu’un petit bout, profitez ! », voilà ses mots quand je lui ai demandé son avis sur ta naissance. Elle m’a dit que je serais un bon papa, que tu recevrais beaucoup d’amour, que mes parents seraient les plus heureux grand-parents qui puissent être… Elle m’a aussi dit ouvertement ses doutes et j’ai aimé cette attitude qui ressemble vraiment à ma marraine. Quand je lui ai dit que nous connaissions des enfants scolarisés qui ne rencontrent pas de problèmes majeurs, elle a été un peu rassurée. Enfin, j’ai posé une question qui me tenais à cœur : « Tu aimeras notre enfant, Marraine, hein ? ». Je me suis fait engueuler ! « Tu me le mettras dans les bras et je l’aimerai, on l’aimera. Tu sais que j’adore les bébés et ce sera le vôtre alors bien sûr que oui qu’on va l’aimer ! ». J’ai été rassuré car voir ma marraine tendre les bras pour te prendre sera sans aucun doute un moment émouvant pour moi.
Voilà la suite de nos annonces en espérant que tu y trouves plein de preuves d’amour.
Le téléphone a été notre allié, j’ai beau le haïr plus que tout, j’ai pris mon courage à deux mains pour prévenir ma famille. C’est d’abord ma tata Dany et mon tonton Michel qui ont eu la primeur de la nouvelle. Ton arrière grand-mère, Raymonde (alias Blondinette), était là et j’ai pu partager avec elle ce sentiment qui me fait encore aujourd’hui sourire, celui de devenir ton papa. Tous, sans exception, se sont réjouis pour mes parents tant ceux-ci avaient pleuré quand je leur avais déclaré mon amour pour ton papa Fred en avril 2003. Ils étaient si persuadés de ne jamais devenir grands-parents que toute ma famille avait senti le besoin de les épauler malgré mes affirmations qui leur prédisaient ton arrivée. Ta venue a donc donné lieu à deux sentiments de joie : pour ton Papa Fred et pour moi, mais aussi pour ton Papy Pierrot et ta Mamie Chantal. Nous sommes prêteurs et très heureux aussi pour eux donc les phrases prononcées pour mes parents de la part de ma famille m’ont particulièrement touché.
Certains appels ont été plus faciles que d’autres, je ne te le cache pas. Sachant que ma cousine, Corinne, et que mes cousins Nicolas et David espèrent eux aussi un petit bout, il m’a été douloureux de les appeler pour afficher notre bonheur. Leur parcours du combattant et leur volonté sont aussi forts que les nôtres et je trouve injuste que leur souhait ne s’exauce pas. Je suis toujours plus désolé qu’heureux quand une bonne chose me touche, il est ainsi rare de me voir jouir pleinement du bien qui m’arrive pensant toujours à la personne à qui je parle. Impossible pour moi, par exemple, de dire combien j’aime ton papa si une amie est célibataire. Je n’aime pas que l’on expose sa joie sans se soucier des autres, mais ne parviens jamais à vraiment profiter ouvertement de mon bonheur que je cache derrière une certaine distance qui me fait paraître tout le temps cynique, ironique. C’est peut-être pour cela que je t’écris ce blog, par peur de ne pas être capable de te dire un jour tout ceci les yeux dans les yeux… Beaucoup disent que j’écris bien, je sais que c’est mon mode de communication idéal pour déclarer mon amour, mon chagrin… mes sentiments. Le téléphone m’a tout de même permis de montrer un petit coin de notre joie. Corinne, David et Tatiana ont bien pris notre nouvelle, trouvant même la gentillesse de se réjouir pour nous. Nous leur souhaitons la même chose très vite car nous savons, en quelque sorte, ce qu’ils traversent. David m’a même appelé quelques semaines plus tard pour nous annoncer la venue d’un tout-petit, Sophie, étant enceinte. Vous aurez 1 mois d’écart avec ce bébé. J’espère que vous serez proches et je crois que ce souhait est partagé par les futurs parents comblés !
Marie et Gwendoline étaient sur un petit nuage quand j’ai pu leur parler. Elles t’ont beaucoup attendu(e) et ont demandé régulièrement des nouvelles afin de savoir quand tu pointerais le bout de ton nez… Savent-elles seulement combien je leur dois ? Elles m’ont montré ce qu’est un enfant en m’accueillant dans leur cœur et en m’y réservant une place un peu spéciale. Je crois que mon envie de toi n’aurait jamais été aussi forte sans les jours passés aux côtés des jumelles. Corinne, leur maman, m’a aussi montré que je savais m’y prendre, sa confiance a été totale et elle me permet d’aborder ta naissance aujourd’hui avec beaucoup de sérénité. Je tremble face aux premiers mois car je n’ai jamais eu l’occasion de m’occuper d’un tout petit bébé hormis d’Isaac le temps d’une journée, mais je crois que je vais m’en sortir… avec ton aide !
Mon parrain, Michel, était sans doute le plus ému. Nous nous sommes découverts tardivement, mais je crois que nos ressemblances sont grandes. J’ai été très gâté par le choix de mes parents qui n’auraient pas pu trouver quelqu’un qui me corresponde mieux. Mon parrain est discret, parle peu, mais parle toujours justement, aime ses fils plus que tout et a toujours été un papa admirable. Je me souviens d’avoir été envieux vis-à-vis de mes cousins qui ne semblaient pas se rendre compte de la chance qu’ils avaient d’avoir un père si présent et si tendre. Mon papa a, malheureusement, été peu là à cause de son travail et nous n’avons pas pu partager autant de choses que je l’aurais voulu quand j’étais petit. Nous nous sommes bien rattrapés depuis et je sais que ton arrivée va permettre à mon père de prendre le temps de faire des choses avec toi, des choses qu’il aurait tant aimé faire avec ton tonton Cyril et moi. Mon parrain était donc très ému au téléphone, ravi pour nous, nous soutenant, je crois, dans notre projet. Avoir un parrain tel Michel me fait en rêver un identique pour toi. Si je n’ai jamais discuté avec lui ou partagé des moments de jeu quand j’étais petit, j’ai toujours senti son regard sur moi, un sentiment certain d’être protégé, jamais jugé, quand mon parrain était dans la pièce. J’ai toujours eu peur de tout, tu peux donc t’imaginer que ce sentiment me faisait beaucoup de bien ! C’est cette bienveillance que je te souhaite, cette assurance de pouvoir compter sur quelqu’un qui t’aime et qui sera là pour toi qu’il fasse beau ou qu’il pleuve. Nous hésitons encore sur l’identité de ton parrain, je ne veux pas que l’on se trompe et que, comme mon frère, tu te retrouves dépourvu(e) de cette personne importante à mes yeux par la distance ou le simple manque d’implication.
L’appel à ma marraine, Mimi, a été le plus complexe. Je connais l’avis de ma marraine vis-à-vis de l’homosexualité qui la définit encore comme une maladie pour reprendre son terme exact. Si beaucoup chercheraient à la convaincre que cette idée est fausse, je ne m’y essaye pas. J’aime trop ma marraine pour la perdre et je ne veux pas entrer en guerre. Je respecte sa vision de ma vie, elle respecte la mienne et tout va bien. Ta mamie Chantal m’avait prévenu : ton arrivée déclenchait une polémique chez ma marraine qui s’inquiète déjà pour toi vis-à-vis du regard des autres. Je n’ai pas pu annoncer ton arrivée à mon tonton Yves. Il m’a toujours effrayé avec son regard noir qui me faisait pleurer quand j’étais petit et j’ai beau savoir depuis longtemps que celui-ci cache un cœur énorme, je ne peux m’empêcher de redouter son opinion sur ma vie. Je me sens honteux de ne pas avoir été capable de lui dire ta venue, mais je suis un pacifiste dans l’âme et j’ai préféré éviter l’obstacle plutôt que de peut-être chuter en essayant de le franchir. Ce n’est pas la meilleure attitude, mais c’est la seule que j’ai trouvée. Ma marraine était, étonnement, très heureuse pour nous. J’ai dû la faire répéter car j’étais vraiment abasourdi. Mimi est malade, je l’ai toujours connue malade, sa santé se dégradant d’année en année. Malheureusement, je suis le pire pour parler de maladie, n’ayant jamais souffert de quoi que ce soit et n’ai jamais su m’y prendre pour aborder ce thème. Idiotement, je crois à la force du moral et je sais que ma marraine déborde de bonne humeur. Je me voile alors la face car je ne sais pas comment la soutenir dans son combat de tous les instants. Avec le temps et face aux difficultés, ma marraine adoucit ses positions et montre davantage ses sentiments. « La vie est une tartine de merde et si Fred et toi avez la chance de n’en manger qu’un petit bout, profitez ! », voilà ses mots quand je lui ai demandé son avis sur ta naissance. Elle m’a dit que je serais un bon papa, que tu recevrais beaucoup d’amour, que mes parents seraient les plus heureux grand-parents qui puissent être… Elle m’a aussi dit ouvertement ses doutes et j’ai aimé cette attitude qui ressemble vraiment à ma marraine. Quand je lui ai dit que nous connaissions des enfants scolarisés qui ne rencontrent pas de problèmes majeurs, elle a été un peu rassurée. Enfin, j’ai posé une question qui me tenais à cœur : « Tu aimeras notre enfant, Marraine, hein ? ». Je me suis fait engueuler ! « Tu me le mettras dans les bras et je l’aimerai, on l’aimera. Tu sais que j’adore les bébés et ce sera le vôtre alors bien sûr que oui qu’on va l’aimer ! ». J’ai été rassuré car voir ma marraine tendre les bras pour te prendre sera sans aucun doute un moment émouvant pour moi.
Côté Nantais, tout a été très festif même si la surprise a été un peu gâchée. Nicolas, le cousin de ton papa, était si content pour nous qu’il a passé le message à Hervé qui lui, l’a passé à Laurent… Bref, au moment de trinquer, tout le monde savait déjà ce que nous allions annoncer. C’était bon de voir tant de sourires, d’entendre tant de félicitations… J’ai savouré ce moment. Ta mamie Odile était assise à côté de moi et nous avons discuté à coeur ouvert. Nous ne nous sommes jamais beaucoup vus par rapport à ton papa Fred qui croise ma maman très régulièrement. Du coup, je sens parfois un peu de gêne de la part de ta mamie Odile qui ne sait pas trop comment me parler, comment je vais réagir. J’ai cette même appréhension parfois ce qui est bien normal face à sa belle-mère (tu verras). Mais cette soirée a été formidable car ta mamie et moi avons vraiment perdu ce sentiment au profit d’une vraie tendresse qui se voyait. Elle a toujours été là, mais restait silencieuse alors que nos échanges, cette fois-ci, étaient francs du collier : « je t’aime, tu m’aimes, on aime Fred et on va aimer ce bébé ensemble ». Voilà un peu comment résumer nos mots et nos regards.
Une fois de plus, nous avons pu constater combien Fabienne nous soutient. C’est un gros coup de coeur pour moi car elle a été celle qui est venue la première en ma direction quand je suis arrivé, tout timide, dans la « cousinade ». Et du 1er jour où nous avons parlé de notre projet à celui de notre annonce, elle a été d’une aide précieuse. Son optimisme, son impatience, ses conseils… c’est du pain béni ! Si tout le monde pouvait avoir autour de soi quelqu’un qui encourage autant, je crois que toutes les grossesses se passeraient à merveille !
Laurent et ton papa Fred ont parlé de la différence entre un garçon et une fille dans la manière d’apprécier la vie et d’aimer ses parents. C’était beau de voir un papa dire combien il aime ses petits. J’ai hâte d’entendre ton papa Fred faire pareil avec toi.
Je vais m’arrêter là pour aujourd’hui, petit bébé. La suite au prochain épisode ! Et qui sait, peut-être que le prochain petit mot sera rédigé par ton papa Fred ? Les miracles arrivent parfois !
Je t’embrasse, prends soin de toi même si loin de nous.
Ton papa Julien qui t’aime
Je vais m’arrêter là pour aujourd’hui, petit bébé. La suite au prochain épisode ! Et qui sait, peut-être que le prochain petit mot sera rédigé par ton papa Fred ? Les miracles arrivent parfois !
Je t’embrasse, prends soin de toi même si loin de nous.
Ton papa Julien qui t’aime
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